top of page

LES INFRASTRUCTURES EN THAÏLANDE


Ce dossier va traiter des infrastructures en Thaïlande. Nous parlerons du réseau routier, de bus, de trains, les aéroports et compagnies aériennes, la conduite, l’eau, l’électricité, le téléphone, internet, le système bancaire (la médecine et les hôpitaux seront traités ultérieurement dans un dossier spécial)

Vous pourrez être parfois surpris…dans un sens ou dans l’autre…

La Thaïlande disposent d’infrastructures dont la qualité est variable selon les secteurs et les régions.

Le Réseau routier :

Le réseau routier est plutôt de bonne qualité si l’on compare à ses voisins (Cambodge, Laos, Birmanie, Vietnam…)

Ce réseau est bien plus développé que le réseau ferroviaire (159.000 km contre 5000 km).

Le frêt routier est privilégié par le Gouvernement qui veut développer les infrastructures routières.

Le réseau routier est bien développé pour desservir tout le royaume avec des autoroutes et des routes à 4 voies.

Le réseau secondaire offre également un maillage intéressant avec néanmoins des disparités en terme d’entretien, certaines routes présentant de nombreux tous ou crevasses, surtout à la saison des pluies.

Il est très aisé de se déplacer par la route en Thaïlande, soit en ayant son propre véhicule (que l’on peut aussi louer très facilement à un prix intéressant), soit en prenant un des très nombreux taxis (il y en a partout à des prix très bas en comparaison avec l’Europe), soit en prenant un bus (le Royaume est entièrement couvert), soit en ville en prenant un tuk tuk, soit en moto (ce sont plutôt des scooters).

Quelques détails sur ces différents modes de transport :

Tout d’abord il faut savoir que la conduite est à gauche ce qui n’est pas forcément facile, du moins au début.

Concernant la conduite auto on peut louer une voiture auprès des grandes agences que l’on connait et qui sont présentes dans la plupart des villes (Hertz, Sixt…).

Il est préférable d’éviter les loueurs « locaux » pour éviter d’hériter d’un véhicule mal entretenu et les arnaques sans compter des assurances plus ou moins efficaces voir parfois inexistantes.

Pour conduire en Thaïlande il faut avoir un permis international. Celui-ci est gratuit et délivré en quelques jours sur simple demande à la Préfecture de son lieu de résidence en France.

Même si conduire est apparemment facile il faut néanmoins savoir que ça devient vite une galère dans les grandes villes.

Dans tous les cas, pour un court séjour, il est préférable de louer une voiture avec chauffeur.

Les chauffeurs sont en générale assez prudents et respectueux des touristes.

Le prix est un forfait et vous pouvez aller où vous voulez, visiter ce que vous souhaitez, le chauffeur vous attendra des heures si il le faut.

Ceci parait toujours curieux aux Européens qui sont habitués à ce que le temps soit de l’argent et il est vrai qu’on a du mal à imaginer un chauffeur en France attendant ses clients pendant des heures, sauf à des prix très élevés.

Concernant les taxis il y en a absolument partout.

Pour prendre l’exemple de Bangkok il y avait en 2009 selon les chiffres gouvernementaux plus de 100,000 taxis prenant en charge plus d’un million de passagers par jour (il y avait 13,000 taxis en 1992).

Les taxis sont facilement reconnaissables à leur couleur vive (vert et jaune, rose fluo, bleu fluo…)

Ce sont des taxi meter c’est-à-dire que l’on paye comme en France la course au temps et kms.

Dans les grandes villes le compteur est en principe toujours mis sauf si la course est très longue ou tard dans la nuit où les chauffeurs essaient de négocier un forfait.

A chacun de voir mais même le forfait reste à un prix très raisonnable.

Pour exemple une course de l’aéroport de Bangkok au centre ville d’une durée de 45mn environ (tout dépend du trafic) coûte plus ou moins 500 bahts soit environ 13 euros (comparez avec la France…) soit très peu surtout si on est plusieurs.

C’est également plus pratique pour gagner son hôtel car le taxi vous déposera à la porte contrairement aux autres modes de transport.

Concernant les bus le réseau est très dense car les Thaïlandais privilégient ce mode de transport qui couvre l’intégralité du territoire.

Il y a différents types de bus :

-Les bus gouvernementaux avec ou sans climatisation.

On les prend généralement à des terminaux, sorte de grandes gares routières où circulent tous les voyageurs dans une ambiance bonne enfant autour des nombreux stands de street food (nourriture de rue).

-Les bus sans air conditionné desservent toutes les petites localités dans les environs des grandes villes amis ils sont souvent bondés et assez inconfortables pour de longs trajets.

D’autre part si l’on ne parle pas le Thaï et que l’on souhaite se faire arrêter dans un petit village il sera difficile de se faire comprendre et vous risquez au final de vous retrouver assez loin de ce que vous avez espérez.

-Les bus privés climatisés.

On en trouve partout où il y a des touristes.

Ils sont confortables, rapides, ponctuels en étant un peu plus chers que les précédents (plus ou moins 25 euros pour parcourir 500 kms).

Ces bus parcourent de longues distances et circulent pour la plupart la nuit.

Les sièges inclinables (plus inclinables que dans les avions) permettent de dormir dans une position acceptable.

Avant le départ un steward vous remettre une bouteille d’eau avec un gâteau ou un sandwich assez basique.

Le bus s’arrêtera en générale une fois à mi trajet pour permettre aux passagers de se dégourdir les jambes et se restaurer. L’arrêt se fait en général sur une grande aire où s’arrêtent des dizaines de bus et où foisonnent de petits restaurants.

L’ambiance de ces aires d’arrêt est tout à fait particulière avec une vie intense 24h/24.

-Les bus VIP.

Plus chers ils offrent un très grand confort avec une inclinaison maximale des sièges.

Vous serez étonnés de voir que le bus sert aussi de relai pour envoyer toutes sortes de choses à l’autre bout du pays.

Certaines fois vous verrez même un scooter mis dans la soute par exemple.

Celui qui expédie remets au chauffeur le nom du destinataire qui attendra le bus à l’arrivée pour prendre possession des marchandises.

Certains envoient également des documents ce qui est une alternative à la poste et va plus vite puisqu’en remettant l’enveloppe le soir celle-ci est à destination le lendemain matin.

Vous serez également sans doute étonné du « design » de ces bus dont certains sont de véritables œuvres d’art…

Concernant les tuk tuk :

Présents dans toutes les villes ils sont une institution en Thaïlande.

Ce sont des véhicules à 3 roues aménagés pour transporter entre 4 et 6 personnes (tout dépend de la taille des passagers…)

A bangkok ce sont des scooters alors que dans le nord notamment ce sont des motos.

C’est un moyen facile et pas cher de se déplacer et de visiter la ville.

Il faut savoir ques tuk tuk ont le statut de taxi.

En ce qui concerne la moto il faut plutôt parler de scooter d’une cylindrée qui est généralement de 110 à 125 cm3 pour la grande majorité.

Il n’y a pas un thaïlandais qui ne possède pas un scooter car c’est le mode de transport privilégié.

C’est un mode de transport qui permet d’aller partout, se faufiler et se garer facilement ce qui en ville est un grand avantage.

Au départ la conduite est un peu stressante mais avec un peu d’habitude c’est agréable si l’on respecte les mesures de prudence élémentaire et que l’on sait anticiper les réactions des autres qui sont souvent imprévisibles…

Vous serez surpris de constater que le port du casque est optionnel dans l’esprit de beaucoup de Thaïlandais.

Le manque d’éducation à ce niveau, la chaleur et les amendes très faibles expliquent cela.

Il n’y a pas non plus de répression si l’on est 3 ou 4 (voir plus) sur une moto…

Le permis de conduire :

Il faut également pour être complet dire un mot sur l’examen du permis de conduire tant la différence est abyssale avec la France…

Le candidat va la veille à l’organisme chargé des permis pour remettre quelques documents (preuve de son adresse, copie de sa carte d’identité notamment) et il lui est remis une convocation pour le lendemain matin vers 8h généralement.

Ce jour là il aura droit à un cours de code sur rétro projecteur d’une durée de 3 heures qui reprend les grandes lignes de ce qu’il faut savoir.

Vers midi, pause déjeuner et à 14h examen du code.

Chaque candidat est assis devant un ordinateur et doit répondre à des QCM. Il n’y pas de temps limite et les questions défilent selon le bon vouloir du candidat qui appuie sur un bouton pour passer à la question suivante.

L’examen dure plus ou moins 1 heure pour passer en revue les 50 questions.

Quand il a terminé il appui sur le bouton « finish » et voit s’afficher un signal vert (si il a réussi) ou rouge (si il est recalé).

Moins de 5 fautes et c’est réussi.

Une fois réussi le code un papier lui est remis pour qu’il aille passer la conduite sur le petit circuit se trouvant à l’extérieur du bâtiment.

Ce circuit rappelle les circuits que l’on a en France pour sensibiliser les élèves de primaire à la prévention routière.

L’examen de conduite est à peu près le même pour la conduite auto que pour la conduite moto.

Le candidat doit venir avec son propre véhicule (il conduit jusqu’au centre d’examen sans le permis vu qu’il vient pour passer celui-ci…)

A son tour il est appelé par l’examinateur qui est assis sous un auvent et qui d’ailleurs ne voit qu’une partie du circuit…

Le candidat prend d’abord une courte ligne droite d’une centaine de mètres, après quoi il doit marquer un stop, redémarrer, faire le tour d’un rond point puis faire un créneau entre deux poteaux espacés de 8 à 10m.

Le créneau terminé il vient se garer le long du trottoir devant l’examinateur, le but étant que les roues ne soient à plus de 30cm du trottoir.

Si tout s’est bien passé (ce qui est le cas dans 95% des cas), l’examinateur remet un papier au candidat qui retourne dans le bâtiment.

Là il se rend dans un bureau où on va prendre sa photo et fabriquer en 5mn la carte plastifiée (style carte d’identité en France).

Voilà, il a le permis et peut rouler comme il veut….

Pas d’auto école bien sûr…

Le réseau ferroviaire

Il est assez peu dense en Thaïlande (environ 5000 km), les trains sont assez peu ponctuels et roulent lentement (40 km/h en moyenne).

Le prix des trains est un peu plus cher que celui des bus mais pour les longs trajets il est recomandé de prendre le train car c’est plus confortable, les trains disposant d’un wagon restaurant ou pour le moins de vendeurs ambulants.

Il y a 3 classes différentes :

-La 3e classe qui est à déconseillé pour les longs trajets (pas d’air conditionné puisqu’il n’y a pas de fenêtre, quelquefois bondé)

-La 2e classe qui est ventilée ou climatisée

-La 1ère classe évidemment plus chère mais toujours climatisée et assez « chic »

-

Les réservations peuvent se faire par internet auprès de différents sites ou aller acheter directement son billet à l’avance dans une gare.

Il est vivement conseillé de réserver à l’avance durant les périodes chargées.

Le réseau ferroviaire comprend 4 lignes : Nord, sud, est et nord est.

Le train présente un avantage qui est celui de côtoyer la population locale et l’on fait souvent de belles rencontres même si le dialogue n’est pas toujours simple et il n’est pas rare de se voir offrir des fruits ou autres nourritures par des Thaï toujours très gentils.

Pour cela on préfèrera la 3e classe pour les trajets courts car c’est ici que l’on profitera au mieux de la population locale.

La profusion des vendeurs ambulants qui vous proposeront des fruits, cuisse de poulets, noix de cajou, boissons….est un véritable spectacle.

En 1ère classe pas de vendeurs ambulants mais 1 ou 2 repas compris dans le prix du billet et une hôtesse par wagon.

Il existe aussi pour les voyages de nuit des wagons avec couchettes.

Les aéroports et compagnies aériennes

La Thaïlande a un très bon réseau international et domestique avec 33 aéroports (27 pour la France).

Prendre l’avion en Thaïlande est, comme partout, le moyen de transport le plus sûr et le plus rapide.

Les aéroports sont de qualité et modernes pour la grande majorité avec un niveau de sécurité élevé.

Les vols intérieurs sur les compagnies low cost sont très bon marché. Pour exemple un vol de Udon Thani (frontière du Laos dans le nord est) à Bangkok vous coutera 25 euros en moyenne.

Les principales compagnies low cost sont entre autre Air Asia et Bangkok Airways.

La compagnie nationale Thaï Airways est une excellente compagnie classée 13e sur les 100 meilleures compagnies au monde (devant Air France et la plupart des compagnies européennes).

Bangkok airways est classé 20e et Air Asia 23e.

L’aéroport de Bangkok :

Il y a 2 aéroports à Bangkok.

L’ancien aéroport Don Mueang était le seul aéroport international de Bangkok jusqu'en 2006.

Il est aujourd’hui principalement utilisé pour des vols domestiques.

Le nouvel aéroport Suvarnabhumi (prononcer « souvanaboum) a ouvert en septembre 2006.

Il est classé 5e meilleur aéroport du monde pour les aéroports accueillant plus de 40 millions de passagers.

C’est le 14e aéroport mondial et le 6e d’Asie.

Sa fréquentation en 2012 était de 53 millions de passagers.

Il possède la plus haute tour de contrôle du monde et son terminal aéroportuaire est le troisième plus grand du monde avec 563 000 m2 (56,3 hectares) derrière l'aéroport de Pékin et celui de Hong Kong. L'aéroport international de Bangkok-Suvarnabhumi constitue la principale plate-forme de correspondance pour plusieurs compagnies aériennes thaïlandaises, Thai Airways International et Bangkok Airways.

L’eau et l’électricité en Thaïlande

L’électricité :

La Thaïlande a un des plus grands réseaux d'électrification en Asie du Sud-Est et la quasi-totalité de sa population dispose de l'électricité.

Certains bâtiments anciens à Bangkok et dans le reste de la Thaïlande n'ont pas une ligne de masse ce qui signifie qu'il n'y a pas de prise de terre ce qui peut conduire à des chocs électriques se produisant plus souvent. Les coupures d'électricité sont également très fréquentes, en particulier durant les orages.

Ces coupures peuvent durer jusqu’à 3 ou 4h voir plus si un transformateur a sauté ce qui n’est pas rare.

Les hôtels et bâtiments publiques sont généralement pourvus de groupes électrogènes pour pallier à cet inconvénient.

Le courant électrique en Thaïlande est de 220V, 50Hz. La prise Thai typique est la multiprise standard qui a soit deux trous (type A ou de type C) ou trois (avec un connecteur de masse). Les deux types acceptent les prises standards européennes.

Ce qui surprend généralement le plus un touriste à son arrivée est la densité de fils du réseau aérien.

L’enchevêtrement est indescriptible mais malgré tout le système fonctionne…

L’eau :

La Thaïlande connait de plus en plus de problèmes de sècheresse et de pénurie d’eau.

Ce problème ne touche que très peu le consommateur qui d’ailleurs n’a aucune conscience du phénomène et n’a jamais été éduqué à faire attention à sa consommation et ce d’autant plus que le prix du m3 est très bas.

Par contre ce problème touche de plein fouet les riziculteurs qui depuis quelques années ne font plus qu’une récolte annuelle alors que par le passé ils en faisaient 2 et même quelquefois 3.

A Bangkok et dans la majeur partie des grandes villes l’eau est une eau de surface ou puisée dans la nappe.

On rencontre très souvent des châteaux d’eau, ceux-ci présents dans chaque petits villages puisent l’eau dans la nappe pour la redistribuer au travers d’un réseau assez basique et vétuste fait de bric et de broc.

Compte tenu de l’absence de stations d’épuration et de réseau correcte d’évacuation des eaux usées, l’eau n’est pas potable.

Lors de la saison sèche et notamment en campagne il n’est pas rare d’avoir un débit très limité.

A savoir également que lorsqu’il y a une coupure d’électricité il n’y a pas d’eau puisque la pompe du château d’eau ne fonctionne plus.

Beaucoup d’habitants dans les campagnes ont des cuves de 2000 litres ou plus posées en hauteur leur permettant de faire face en cas de baisse de pression ou coupure, ce sytème est très efficace et très simple à mettre en place.

Téléphone et internet

La Thaïlande dans les dernières décennies a considérablement évoluée en terme de téléphonie.

A part dans les villes le téléphone fixe était assez peu présent dans les foyers ou du moins beaucoup moins qu’en Europe.

De ce fait quand le téléphone portable est arrivé il y a eu une ruée vers celui-ci beaucoup plus rapide que dans les pays d’Europe qui avait déjà un téléphone à la maison.

Au travers de quelques sociétés majeurs le développement du téléphone portable a té très rapide et aujourd’hui la quasi-totalité du territoire est couverte d’un réseau efficace et performant.

SI vous arrivez d’Europe le plus simple est d’acheter un téléphone basique avec une carte sim, le tout vous en coutera environ 15 euros et vous pourrez toujours réutiliser le téléphone à votre retour puisqu’il n’est pas locké.

Il est toujours intéressant d’avoir un téléphone Thaï durant votre séjour pour pouvoir appeler en cas d’urgence, votre hôtel, une connaissance sur place ou l’ambassade si nécessaire.

Egalement, si vous vous promenez, ayez toujours la carte de l’hôtel avec son téléphone avec vous.

Les chauffeurs de taxis ne parlant pas ou peu l’anglais il vous sera facile avec votre téléphone d’appeler l’hôtel qui expliquera où il se trouve directement avec le chauffeur si il ne sait pas.

Les recharges peuvent être achetés dans les 7 Eleven qui sont ouverts 24h/24 et 7j/7.

Le prix des appels locaux est dérisoire.

L’indicatif téléphonique pour appeler la ThaÏlande est le +66 (ou 00 66) suivi du n° de votre correspondant sans le 0.

Dans tous les hôtels (ou presque) vous aurez un téléphone dans votre chambre vous permettant d’appeler l’international mais attention si vous êtes bavard, la facture peut vite être élevée.

En ce qui concerne internet le wifi à haut débit est présent partout et gratuit donc vous n’aurez aucun mal à vous connecter dans un hôtel ou un restaurant.

Vous pourrez aussi acheter des packs pour votre téléphone, ils sont bon marché et disponible chez tous les opérateurs.

Le système bancaire

Le système bancaire en Thaïlande n’a rien à envier au système bancaire européen.

Toutes les grandes banques sont présentes dans le pays dans la plupart des villes.

Vous pourrez retirer de l’argent dans tous les ATM qui sont présents absolument partout et vous ne pourrez pas faire plus de 500m sans en voir un.

Les ATM acceptent toutes les cartes sans problème.

Il n’est pas conseillé d’avoir beaucoup d’argent sur soi, mieux vaut retirer au fur et à mesure.

A savoir que le paiement par carte, en dehors des villes et des établissements de quelque importance, est peu accepté, le paiement en espèces étant largement privilégié.

Vous pourrez néanmoins assez souvent payer votre hôtel par carte.

Il est inutile de venir avec des devises thaïlandaises, vous aurez toute facilité pour faire votre premier retrait à l’aéroport et cela vous coutera moins cher que le change à la banque de votre pays de résidence.

Posts à l'affiche
Posts Récents
Archives
Rechercher par Tags
Pas encore de mots-clés.
Retrouvez-nous
  • Google+ Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Facebook Basic Square
  • LinkedIn Social Icon
  • YouTube Social  Icon
  • Pinterest Social Icon

N'OUBLIEZ PAS DE COCHER LA CASE "Publier également sur Facebook" après votre commentaire

bottom of page